Quo vaditis, Rabtaldirndln et toxic dreams?
Femmes au foyer de Graz contre femmes au foyer de Vienne — une combinaison étonnamment fatigante
Un mélange excitant
Avec son travail « Elephant », Bouchra Ouizguen a présenté un projet de danse transfrontalier dans le cadre des Wiener Festwochen.
Quelle période !
Au cours des années de l’ère Trump, nous nous sommes familiarisés avec le concept de fake news tout autour du globe. A tel point que nous pensons désormais devoir nous approprier le mensonge pour survivre dans la société. Avec son ensemble, Martin Gruber s’est penché de plus près sur ce phénomène. Mais pas seulement celui-ci.
Pas pour les âmes sensibles
Le sang veut du sang. Cette phrase tirée de « Macbeth. D’après William Shakespeare » de Heiner Müller, le metteur en scène Stephan Rottkamp l’a prise plus qu’au pied de la lettre. La mise en scène de la pièce au Grazer Schauspielhaus commence dans le sang et se termine dans le sang. Entre les deux, du sang : du sang par seaux entiers.
L’horreur ne se joue pas seulement au théâtre
L’abus de pouvoir commence dans la famille et se transmet à partir de là. Avec ‘L’etang / Der Teich’, Gisèle Vienne a réussi à transposer de manière très émotionnelle la pièce de théâtre du même nom de Robert Walser. Elle montre comment les enfants sont livrés à leurs parents sur le plan émotionnel et combien ils souffrent du manque d’amour.
Au point de rupture entre l’ancien et le nouveau
La Cerisaie de Tchekhov, mise en scène par Tiago Rodrigues, a convaincu à plusieurs égards lors des Wiener Festwochen.
Beaucoup de tête, peu de coeur
Avec ‘Un imagen interior’ du groupe El Conde de Torrefiel, le recours à la boîte à magie du théâtre post-dramatique n’a fonctionné que de manière limitée.
Tout a déjà été fait et pourtant beaucoup de nouveautés
Michael Köhlmeier a rempli le Schauspielhaus de Graz avec sa « soirée de mythologie grecque ». Une bonne idée de faire revenir un public encore hésitant dans la salle après la pause due à la pandémie.
Musique et danse sans temps ni espace
TUMULUS – la nouvelle œuvre de François Chaignaud et du chef d’orchestre Geoffroy Jourdain associe la danse à la musique historique et contemporaine. Elle parle du caractère éphémère de la vie tout comme de l’envie de faire la fête et de profiter de la vie.
De la téléréalité à la tombe à grande vitesse
Le TAG vous attend avec une version modifiée de « Glaube, Liebe Hoffnung » d’Ödön von Horváth et Lukas Kristl. Cent minutes passent comme un éclair.
Fuck you mother!
Dans sa dernière production « Todo el cielo sobre la tierra » (El sindrome de Wendy), Angélica Liddell pousse toutes les mères du trône sur lequel elles sont supposées être montées à la naissance de leurs enfants, et leur crie qu’elles n’ont aucune raison de réclamer un « supplément de dignité » pour elles-mêmes.
Crossover E-Jazz – c’est cela?
Le 16 novembre dernier le Jazzdor Festival a réservé un autre point fort au public venu au «Pôle-Sud» à Strasbourg: Maurice Horsthuis et Elastic Jargon. Dès que l’ensemble entra en scène il était clair que l’on allait entendre un concert de jazz d’un autre genre. La...
La Cerisaie – la nostalgie « épicée à l’esthétique » au TNS à Strasbourg
Ces dernières années, la cerisaie, la dernière pièce d’Anton Tchekhov, est montée à nouveau un peu partout en Europe. L’une de ces nouvelles mises en scène est actuellement à l’affiche au TNS à Strasbourg jusqu’à la fin du mois de mai. Julie Brochen, la nouvelle...
Tempest – without a body
Ponifasio a réussi faire régner un sentiment de destruction qui ne concerne pas seulement les Maoris mais toutes les cultures sur notre terre, y compris la notre.
Quo vaditis, Rabtaldirndln et toxic dreams?
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Quelle période !
Au cours des années de l’ère Trump, nous nous sommes familiarisés avec le concept de fake news tout autour du globe. A tel point que nous pensons désormais devoir nous approprier le mensonge pour survivre dans la société. Avec son ensemble, Martin Gruber s’est penché de plus près sur ce phénomène. Mais pas seulement celui-ci.
Pas pour les âmes sensibles
Le sang veut du sang. Cette phrase tirée de « Macbeth. D’après William Shakespeare » de Heiner Müller, le metteur en scène Stephan Rottkamp l’a prise plus qu’au pied de la lettre. La mise en scène de la pièce au Grazer Schauspielhaus commence dans le sang et se termine dans le sang. Entre les deux, du sang : du sang par seaux entiers.
L’horreur ne se joue pas seulement au théâtre
L’abus de pouvoir commence dans la famille et se transmet à partir de là. Avec ‘L’etang / Der Teich’, Gisèle Vienne a réussi à transposer de manière très émotionnelle la pièce de théâtre du même nom de Robert Walser. Elle montre comment les enfants sont livrés à leurs parents sur le plan émotionnel et combien ils souffrent du manque d’amour.
Au point de rupture entre l’ancien et le nouveau
La Cerisaie de Tchekhov, mise en scène par Tiago Rodrigues, a convaincu à plusieurs égards lors des Wiener Festwochen.
Beaucoup de tête, peu de coeur
Avec ‘Un imagen interior’ du groupe El Conde de Torrefiel, le recours à la boîte à magie du théâtre post-dramatique n’a fonctionné que de manière limitée.
Tout a déjà été fait et pourtant beaucoup de nouveautés
Michael Köhlmeier a rempli le Schauspielhaus de Graz avec sa « soirée de mythologie grecque ». Une bonne idée de faire revenir un public encore hésitant dans la salle après la pause due à la pandémie.
Musique et danse sans temps ni espace
TUMULUS – la nouvelle œuvre de François Chaignaud et du chef d’orchestre Geoffroy Jourdain associe la danse à la musique historique et contemporaine. Elle parle du caractère éphémère de la vie tout comme de l’envie de faire la fête et de profiter de la vie.
De la téléréalité à la tombe à grande vitesse
Le TAG vous attend avec une version modifiée de « Glaube, Liebe Hoffnung » d’Ödön von Horváth et Lukas Kristl. Cent minutes passent comme un éclair.
Fuck you mother!
Dans sa dernière production « Todo el cielo sobre la tierra » (El sindrome de Wendy), Angélica Liddell pousse toutes les mères du trône sur lequel elles sont supposées être montées à la naissance de leurs enfants, et leur crie qu’elles n’ont aucune raison de réclamer un « supplément de dignité » pour elles-mêmes.
Crossover E-Jazz – c’est cela?
Le 16 novembre dernier le Jazzdor Festival a réservé un autre point fort au public venu au «Pôle-Sud» à Strasbourg: Maurice Horsthuis et Elastic Jargon. Dès que l’ensemble entra en scène il était clair que l’on allait entendre un concert de jazz d’un autre genre. La...
Ècouter avec les yeux et se regarder avec les oreilles
Interview avec le directeur du festival « Musica » Jean-Dominique Marco Le festival « Musica », fondé en 1983, est l’un des festivals d’Europe les plus riches en traditions. Il rencontre un succès incontestable auprès du Public strasbourgeois. Jean-Dominique Marco, le...
La Cerisaie – la nostalgie « épicée à l’esthétique » au TNS à Strasbourg
Ces dernières années, la cerisaie, la dernière pièce d’Anton Tchekhov, est montée à nouveau un peu partout en Europe. L’une de ces nouvelles mises en scène est actuellement à l’affiche au TNS à Strasbourg jusqu’à la fin du mois de mai. Julie Brochen, la nouvelle...
Tempest – without a body
Ponifasio a réussi faire régner un sentiment de destruction qui ne concerne pas seulement les Maoris mais toutes les cultures sur notre terre, y compris la notre.
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